Plusieurs sociétés religieuses protestantes, comme la Société des missions évangéliques (1818), la Société biblique protestante de Paris (1822), l’Armée du Salut (1878), ainsi que des établissements protestants d’enseignement s’implantent en France.
Les mouvements de Réveil, venant de Genève et du méthodisme anglais, dominent le renouveau du protestantisme français. Ils influencent les paroisses concordataires et sont à l’origine de nouvelles Églises libres non concordataires, comme celle de la chapelle Taitbout à Paris.
Au cours de la deuxième moitié du siècle, les Églises réformées sont divisées par le conflit entre les évangéliques orthodoxes, sous l’influence du Réveil, et les libéraux. Le conflit culmine avec le synode national de Paris en 1872, qui adopte une déclaration de foi que les libéraux rejettent. A la fin du siècle, les conflits sont moins virulents.
Les luthériens ne connaissent pas de tels conflits car la confession d’Augsbourg est toujours reconnue et il existe une structure centrale : le consistoire général de Strasbourg.
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Organisation
de la communauté protestante -
Le Concordat
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Influences piétiste
et méthodiste en France
au XIXe siècle -
Œuvres pastorales
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Le mouvement missionnaire
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Les Réveils
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Le libéralisme
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Les conflits
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Les débats théologiques
au XIXe siècle -
Le temps des divisions
parmi les Églises réformées -
Scissions et regroupements
des Églises réformées -
Le luthéranisme français